7/15/2009

Initiatives: Zones de gratuités

Trouvé en activité à Grenoble, vian le site l'espoir fait vivre. Un peu de motiv, des palettes et tu peux nettoyer St michel ET aider pas mal de monde. A creuser

Définition (tiré de Ekopédia) :
Présentation

Toute personne peut :
-déposer ou non quelque chose,
-prendre ou non quelque chose.

Il n’y a pas d’obligation d’amener quelque chose pour prendre autre chose. (ni troc, ni charité, ni devoir de réciprocité...)

Une zone de gratuité peut être temporaire (bout de trottoir, cage d'escalier, charrettes, caddie-gratuits, really really free market...) Une zone de gratuité peut aussi être permanente et autogérée (coin d'appartement, magasins gratuits, supermarchés gratuits...)

Une zone de gratuité du fait qu'elle remet fortement en question nos habitudes de consommateur-ices peut-être ouverte :
-aux débats, échanges conviviaux (rapports marchands/ gratuités/ propriétés/ lâcher-prise/profits/dons...)
-aux réflexions relations (dépenses/dépendances/consciences/...)
-aux actions/propositions (gratuites (?), libres (?), vides (?))
On peut y tenter un geste sans buts ou une parole dégagée de tout intérêt. On peut s’y débarrasser de ses oeillères et de ses illusions. On peut y inventer ensemble d’autres modes de partage.


Origines :
Ce sont sans doute les diggers de San Francisco qui ont ouverts les premiers Magasins gratuits dans le quartier Haight-Ashbury, dans les années 1966-68. Les magasins étaient partiellement fournis par les marchands locaux, qui, effrayés ou supporteurs des Diggers, payaient une contribution d'un pourcent (1%free) de leurs ressources à la "Free City Bank".Les autres items provenaient soient de dons, d'objets de récupération, ou de vols. Le premier magasin gratuit s'appellait Trip Without a Ticket.

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