CNT : Devant l’entreprise AMORA, quai Nicolas Rolin, vous avez accroché une banderole « UNILIVER PROFITE D’AMORA ». Qu’entendez-vous par « AMORA », la marque ? L’entreprise familiale avant son achat par UNILEVER ? Les deux, ils profitent d’Amora, ils profitent de nous, avec les pertes d’emplois. On leur a amené à peu près 25 à 27 millions d’euros pendant 8 ans et maintenant ils délocalisent. On a fait tout ce qu’ils ont voulu : les 3/8, les week-ends, leurs trucs de Maintenance de Production Totale, tout cela pour en finir là.
« Amora », c’est aussi l’entreprise. Nous, nous allions au boulot en allant chez Amora, mais le 6 décembre, on a été très impressionnés par le monde qu’il y avait et par l’attachement des dijonnais à cette marque. On ne l’avait pas compris dès le départ, mais ensuite, bien évidement, on s’en est servi.
A tous ceux qui pensaient que les "caterpillar" étaient une minorité.
L'ordre bien établi du monde marchand et son cynisme de circonstance vomit jusque dans ta mayonnaise. Tu manges ce qui broie ton prochain. Vive la machine et ses œillères.
Combien de temps le subterfuge fonctionnera t'il ?
Arnaqués du capitalisme, comptez vous !
Sur brassicanigra
Je ne suis même plus étonné par ce genre d'annonce...
RépondreSupprimerMais mon petit billet sur DNF fait du coup tache entre les sociologues et Amora :'(